Si bâtir un château en Espagne relève du rêve chimérique, acheter une maison dans le pays de Cervantès a tout d’une bonne affaire. Voici 5 bonnes raisons pour investir dans une villa en Espagne.
Une qualité de vie exceptionnelle
Avec un ensoleillement annuel supérieur à 300 jours, une grande richesse culturelle, des paysages variés, une gastronomie réputée et un mode de vie détendu et ouvert aux autres, l’Espagne offre une qualité de vie exceptionnelle pour partir en vacances ou pour passer sa retraite.
Des prix de l’immobilier abordable
Après les années folles d’avant crise, l’immobilier espagnol a connu une importante période d’ajustement qui a culminé en 2016 par une baisse de 26 % des prix moyens par rapport à ceux de 2008. Le marché est depuis reparti à la hausse sans pour autant refaire son retard sur l’évolution des prix belges ou français. Sur la très prisée Costa Blanca, vous pourrez ainsi aisément trouver de belles villas à moins de 2 000 € le mètre carré.
Un coût de la vie attractif
L’Espagne bénéficie d’un indice du coût de la vie parmi les plus bas d’Europe de l’Ouest. Comparé à la Belgique, le coût de la vie est 20 % inférieur alors que le niveau de services est comparable. Votre pouvoir d’achat dans le pays profite également d’une fiscalité locale avantageuse.
Un investissement rentable
Des charges de copropriété plus faibles, aucune taxe d’habitation, une taxe foncière raisonnable qui est environ 30 % inférieure à celle de la Belgique et une forte demande locative soutenue représentent autant de facteurs qui influent positivement sur la rentabilité de votre investissement immobilier en Espagne.
7 communautés autonomes sans impôt sur les successions
Les résidents de sept communautés autonomes d’Espagne bénéficient d’une quasi-abrogation de l’imposition sur les successions et les donations. En choisissant d’acheter votre villa en Andalousie, dans les Canaries, à Madrid, en Estrémadure, en Cantabrie, en Murcie ou dans La Rioja pour en faire votre résidence principale, vous pourrez la transmettre à nos descendants qui n’auront à acquitter au maximum qu’un impôt symbolique qui correspond à 1 % de la valeur du bien.
